Référence: CHOCOTOGO
CHOCOLAT NATURE COMPOSE DE 60% DE CACAO, se vend à l'unité.
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Notre Mère nous avait conçus chacun à midi, mes deux frères cadets et moi, et nous avait accouchés dans la nuit, dans la douleur. Notre vie de misérables desséchée par les rayons brûlants de midi, dégageait une puanteur acerbe que nul enfant de lumière ne désirerait. C’est le soleil qui m’a brûlée. Notre Père, nous ne le voyions qu’une fois la journée, les midis où il n’était pas vraiment à nous. C’est Notre Mère qui nous criait dessus tous les midis : « Allez-y accueillir votre Père qui est arrivé. » Puis il s’enfermait avec notre m&
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Référence: Rob Int 6è
Le Robinet des Intelligences :Exercices et corrigés.
Référence: Jean-Paul TOH-TOH
À partir de symboles universels et de petits faits du quotidien, le conteur interroge l'humanité sur une question fondamentale que portent nos mères, sœurs, tantes, cousines, nièces... afin de permettre à chacun de trouver plus tard, au-delà du récit sa part de rêve et de joie.
Référence: Innocent KAGBARA
Cet ouvrage explique les limites de l’appartenance du Togo à la Francophonie et les raisons que le pays a à intégrer le Commonwealth. Le développement à double vitesse des pays africains, anglophones et francophones, le climat des affaires, la prépondérance de la langue anglaise dans les échanges commerciaux internationaux, les systèmes politiques,...
Référence: ISBN 978-2-37355-397-0
Vagues à lame Avec ce nouveau recueil, l’auteur chante l’amour avec un lyrisme détonant qui va au plus loin de lui-même, qui va chercher les mots dans des associations de pensées inspirées, portées par les vents de la chair. Ici tout est exprimé par le souffle d’un chant soutenu où, à la fois le feu, la nature et le silence touchent au céleste,...
Notre Mère nous avait conçus chacun à midi, mes deux frères cadets et moi, et nous avait accouchés dans la nuit, dans la douleur. Notre vie de misérables desséchée par les rayons brûlants de midi, dégageait une puanteur acerbe que nul enfant de lumière ne désirerait. C’est le soleil qui m’a brûlée. Notre Père, nous ne le voyions qu’une fois la journée, les midis où il n’était pas vraiment à nous. C’est Notre Mère qui nous criait dessus tous les midis : « Allez-y accueillir votre Père qui est arrivé. » Puis il s’enfermait avec notre m&
